User Tools

Site Tools


gesamtausgabe:ga34:ga34-estrutura-da-obra

GA34: Estrutura da Obra

Boutot

Considérations introductives

§ 1. Que nos préjugés concernant l’« essence » et la « vérité », tout en « allant de soi », sont dignes d’être mis en question

§ 2. Le retour au cour de l’histoire du concept de vérité n’a pas pour but de confirmer historiquement nos préjugés, mais de nous faire entrer dans le domaine de l’expérience grecque initiale de l’aletheia (l’ouvert sans retrait)

PREMIERE PARTIE - LE SIGNE VERS L’« ESSENCE » DE L’ALETHEIA. UNE INTERPRÉTATION DE L’ALLÉGORIE DE LA CAVERNE DANS LA RÉPUBLIQUE DE PLATON

CHAPITRE PREMIER - Les quatre stades à travers lesquels la vérité a lieu

A. Le premier stade (514 a 2-515 c3) : La situation de l’homme dans la caverne souterraine

§ 3. Ce qui est hors-retrait dans la caverne : des ombres qui se montrent aux prisonniers 43

B. Le deuxième stade (515 c 4 - 515 e 5) : Une « libération » de l’homme à l’intérieur de la caverne 48

§ 4. Nouveaux traits de l’aletheia révélés par l’échec de la tentative de libération 50

C. Le troisième stade (515 e 5 - 516 e 2) : La libération proprement dite de l’homme vers la lumière originaire

§ 5. L’ascension de l’être humain hors de la caverne dans la lumière du Soleil

a) Les degrés de l’ouvert sans retrait à l’extérieur de la caverne

b) Quatre questions sur les rapports constitutifs de l’aletheia que l’événement de la libération rend visibles

§ 6. Idée et lumière

a) La vision du « ce que c’est »

b) L’essence de la clarté : le diaphane

c) La fonction fondamentale de l’idée : accorder le passage à l’être de l’étant

§ 7. La lumière et la liberté. La liberté consiste à se lier à ce qui éclaircit

§ 8. La liberté et l’étant. Le regard porteur de lumière en tant que projection d’être (à l’exemple de la nature, de l’histoire, de l’art et de la poésie)

§ 9. Approche de la question de l’essence de l’aletheia en tant qu’ouvert sans retrait

a) Les degrés de l’ouvert sans retrait. Les Idées comme ce qui est originairement hors-retrait et comme ce qui est le plus étant dans l’étant

b) Les Idées sont l’envisagé d’un regard pré-figurant qui participe à ce que l’ouvert sans retrait ait lieu

c) Etre capable de désabriter : ce qui a lieu tout au fond de l’ex-sistence de l’être humain

D. Le quatrième stade (516 e 3 - 517 a 6) : La redescente de l’homme libre dans la caverne

§ 10. Le philosophos, libérateur des prisonniers. La violence qu’il exerce, comment il est mis en péril et sa mort

§ 11. Celui qui philosophe accomplit son destin comme avoir-lieu de l’aletheia : débat, où se dissocient, et coapparte-nance, où se mettent ensemble manifester et abriter (être et apparaître)

CHAPITRE II - L’Idée du Bien et l’ouvert sans retrait

§ 12. L’Idée du Bien en tant qu’idée la plus haute : la potentialisation de l’être et de l’ouvert sans retrait

§ 13. Voir en tant que horan et noein. Voir et pouvoir être vu sous le joug de la lumière

§ 14. Le Bien : la potentialisation de ce dont il retourne avant tout

§ 15. La question de l’essence de la vérité en tant que question portant sur l’histoire essentielle de l’homme et de sa paideia

CHAPITRE III - La question de l’essence de la non-vérité

§ 16. L’exténuation de l’expérience fondamentale de l’aletheia. La philosophie se doit de l’éveiller de nouveau : ce qui demeure le commencement de notre existence

§ 17. La vacance de la question en quête de l’essence du retrait, dont ce qui est hors-retrait peut être arraché de haute lutte. Métamorphose de la question en quête de l’essence de la vérité en question en quête de la non-vérité

§ 18. Justification du « détour ». Clarification préalable des concepts fondamentaux : pseudes, lethe e a-letheia

§ 19. Récapitulation : ouvert sans retrait et être; la question de l’essence de la non-vérité

DEUXIÈME PARTIE - UNE INTERPRÉTATION DU THÉÉTÈTE DE PLATON EN VUE DE PARVENIR À LA QUESTION DE L’ESSENCE DE LA NON-VÉRITÉ

CHAPITRE PREMIER - Réflexions préliminaires

§ 20. Pour la pensée grecque, la question de l’essence de l’episteme est l’attaque que mène l’homme contre ses évidences dans la façon de se comprendre immédiatement lui-même

§ 21. Teneur fondamentale du concept grec de connaissance : l’alliance du s’y entendre à quelque chose et d’avoir présent à la vue ce qui se présente

CHAPITRE II - Début de l’explication de la première réponse de Théétète : episteme est aisthesis. Délimitation critique de l’essence de la perception

§ 22. L’aisthesis en tant que phantasia. Ce qui se montre dans son déploiement en présence

§ 23. Les sens : dans la perception humaine, rien qu’une voie de passage - ils ne perçoivent pas eux-mêmes

§ 24. L’âme en tant que ce rapport à du perceptible qui l’unifie et le tient ouvert

§ 25. La couleur et le son : l’un et l’autre sont perçus à la fois dans le dianoein

CHAPITRE III - Déploiement progressif de l’ensemble des rapports perceptifs

A. Première étape : La perception de l’étant en tant que tel

§ 26. Un « supplément » étrange au sein du perçu par-delà le donné sensible : le fait d’être « étant » et autres choses que l’on ne remarque pas, et qui sont pourtant incontestablement perçues en même temps

B. Deuxième étape : Recherche de ce qui perçoit le supplément dans le perçu

§ 27. Les organes des sens ne sont pas un passage pour ce qui est commun à tout ce qui est perçu

§ 28. L’âme : ce qui prend en vue les koina, ce qui est commun à tout, dans le dianoein, en passant à travers elle-même, elle qui est un domaine de perceptible

C. Troisième étape : L’être en tant qu’aspiration à l’être

§ 29. La primauté de l’aspiration à l’être dans l’âme en tant que relation au perçu

§ 30. Avoir et tendre

a) Apparente incompatibilité entre tension et perception

b) La perte de soi dans la perception immédiate

c) Perception non-thématique et non-conceptuelle

d) La libre possession de vérité (savoir) n’existe que dans la relation de tension vers ce à quoi l’on tend. Avoir au sens impropre et au sens propre.

§ 31. La tension impropre et la tension propre. L’eros en tant qu’aspiration à l’être

§ 32. Détermination plus nette de l’aspiration à l’être

a) Déploiement plus essentiel des déterminations d’être au sein de l’être en tonalité

b) Prise en vue des rapports de renvoi au sein de l’être

c) Les rapports de renvoi au sein de l’être sont explicités dans le syllogismos

d) Première lueur du rapport de l’être au temps

§ 33. Le « supplément » n’est pas addition à ce qui est senti, mais mise en relief, par le moyen de concepts, de différents caractères d’être saisis dans l’horizon de l’aspiration à l’être

D. Quatrième étape : L’être-homme, s’il doit être historial : engagement corps et âme et tenue (paideia)

§ 34. L’enracinement des caractères d’être « abstraits » dans l’unité du Dasein corporel. Sa différence avec la nature privée de Soi-même. L’être-au-delà-de-soi-même dans le désir originaire, i.e. le désir qui demeure à jamais désir

§ 35. La première réponse de Théétète est insuffisante. La perception est toujours déjà plus qu’une perception. L’expérience élargie de l’aisthesis est la condition de possibilité de l’ouvert sans retrait

CHAPITRE IV - Mise en train d’une discussion de la deuxième réponse de Théétète : episteme est alethes doxa. Plurivocité de la doxa

§ 36. Comment la deuxième réponse surgit de ce qu’a été passé sous silence, dans les discussions précédentes portant sur le désabritement et l’aspiration à l’être, la question de la non-vérité

§ 37. Les deux sens de doxa (vue) : aspect et opinion

§ 38. Deux nouveaux aspects de la doxa : son balancement entre laisser apparaître (eidos) et distordre (pseudes)

CHAPITRE V - La question de la possibilité de la pseudes doxa

A. Recherche préliminaire : Impossibilité du phénomène de la pseudes doxa

§ 39. L’horizon de la recherche préliminaire exclut d’emblée la possibilité d’une pseudes doxa

a) Premier axe : alternative entre savoir et ne pas savoir

b) Deuxième axe : alternative entre être et n’être pas

c) Troisième axe : la pseudes doxa en tant qu’allodoxia (échanger l’un contre l’autre au lieu de prendre l’un pour l’autre)

§ 40. Bilan de la recherche préliminaire : la doxa a quelque chose du logos; l’aporie : éviction du phénomène du fait des perspectives directrices

B. Recherche principale : Comment sauver le phénomène de la pseudes doxa

§ 41. Retrait des perspectives ayant guidé la recherche préliminaire en faveur des phénomènes intermédiaires niés jusque-là

§ 42. Une nouvelle caractérisation de l’âme par le biais de deux allégories

a) Image de la cire. L’être-mémorieux

b) Un exemple : la tour du Feldberg. Avoir présent et se rendre présent

c) Image du colombier. Les diverses guises de la rétention

§ 43. Confirmation de la connexion entre aisthesis et dianoia grâce à un élargissement du champ du présent

§ 44. Mise au point du double sens de doxa : la bifurcation de la doxa en avoir présent et se rendre présent

§ 45. La bifurcation de la doxa rend possible qu’on se trompe en voyant mal

§ 46. Le fait de manquer l’être se déplace dans la non-rectitude de l’énoncé. L’inadvenu dans l’histoire du concept de vérité

Appendice

Additions tirées des projets de Heidegger (suppléments au manuscrit)

Original

EINLEITENDE BETRACHTUNGEN

§ 1. Die Fragwürdigkeit unserer »selbstverständlichen« Vormeinungen über »Wesen« und »Wahrheit«

§ 2. Rückgang in die Geschichte des Wahrheitsbegriffs: nicht historische Bestätigung der Vormeinungen, sondern Einkehr in die anfängliche griechische Erfahrung der ἀλήθεια (Unverborgenheit)

ERSTER TEIL

DER WINK IN DAS »WESEN« DER ΑΛΗΘΕΙΑ EINE AUSLEGUNG DES HÖHLENGLEICHNISSES IN PLATONS POLITEIA

Erstes Kapitel

Die vier Stadien des Wahrheitsgeschehens

A. Das erste Stadium

Die Lage des Menschen in der unterirdischen Höhle

§ 3. Das Unverhorgene in der Höhle: den Gefangenen sich zeigende Schatten

B. Das zweite Stadium Eine »Befreiung« des Menschen innerhalb der Höhle

§ 4. Im Mißlingen des Befreiungsversuchs hervortretende neue Züge der ἀλήθεια

C. Das dritte Stadium

Die eigentliche Befreiung des Menschen zum ursprünglichen Licht

§5. Der Aufstieg des Menschen aus der Höhle ans Licht der Sonne

a) Stufen der Unverborgenheit außerhalb der Höhle

b) Vier Fragen zu den am Geschehnis der Befreiung sichtbaren Bezügen der ἀλήθεια

§ 6. Idee und Licht

a) Das Sehen des Was-seins

b) Das Wesen der Helle: Durchsichtigkeit

c) Die Grundleistung der Idee: Durchlässen des Seins des Seienden

§ 7. Licht und Freiheit. Freiheit als Bindung an das Lichtende

§ 8. Freiheit und das Seiende. Der Lichtblick als Seinsentwurf (am Beispiel der Natur, der Historie, der Kunst und Dichtung)

§ 9. Zur Frage nach dem Wesen der Wahrheit als Unverborgenheit

a) Grade der Unverhorgenheit. Die Ideen als das ursprünglich Unverborgene und als das Seiendste am Seienden

b) Die Ideen als das Gesichtete eines vor-hildenden Erblikkens, das am Geschehen der Unverhorgenheit beteiligt ist

c) Entbergsamkeit als das Grundgeschehnis der Ex-sistenz des Menschen

D. Das vierte Stadium Der Rückstieg des Freien in die Höhle

§ 10. Der φιλόσοφος als Befreier der Gefangenen. Seine Gewalttat, seine Gefährdung und sein Tod

§ 11. Die Erfüllung des Schicksals des Philosophierenden als ein Geschehen der ἀλήθεια: Auseinander-setzung und Zusammen-gehörigkeit von Offenbaren und Verbergen (Sein und Schein)

Zweites Kapitel Die Idee des Guten und die Unverborgenheit

§ 12. Die Idee des Guten als höchste Idee: Ermächtigung des Seins und der Unverhorgenheit

§ 15. Sehen als ὁρᾶν und νοεῖν. Sehen und Sichtbares im Joch des Lichtes

§ 14. Das Gute: Ermächtigung dessen, worauf es überhaupt ankommt

§ 15. Die Frage nach dem Wesen der Wahrheit als Frage nach der Wesensgeschichte des Menschen und seiner παιδεία

Drittes Kapitel Die Frage nach dem Wesen der Unwahrheit

§ 16. Das Schwinden der Grunderfahrung der ἀλήθεια. Die philosophische Verpflichtung, sic neu zu erwecken: den bleibenden Anfang unserer Existenz

§ 17. Das Ausbleiben der Frage nach dem Wesen der Verborgenheit, der Un-verborgenes abgerungen werden kann. Wandlung der Frage nach dem Wesen der Wahrheit in die nach der Unwahrheit

§ 18. Rechtfertigung des »Umwegs«. Vorklärung der Grundbegriffe: ψευδος, λήθη und ἀ-λήθεια

§ 19. Zusammenfassungen: Unverborgenheit und Sein; Frage nach dem Wesen der Unwahrheit

ZWEITER TEIL EINE AUSLEGUNG VON PLATONS »THEÄTET« IN ABSICHT AUF DIE FRAGE NACH DEM WESEN DER UNWAHRHEIT

Erstes Kapitel Vorüberlegungen

§ 20. Die griechisch verstandene Frage nach dem Wesen der ἐπιστήμη: Angriff des Menschen auf die Selbstverständlichkeiten seines Selbstverständnisses

§ 21. Grundgehalt des griechischen Erkenntnis-Begriffs: Verschmelzung von Sich-verstehen auf etwas und sehendem Gegenwär-tig-haben von Anwesendem

Zweites Kapitel Beginn der Erörterung der ersten Antwort des Theätet: ἐπιστήμη ist αἴσθησις. Kritische Begrenzung des Wesens der Wahrnehmung

§ 22. Αίσθησις als φαντασία. Das Sich-zeigende in seiner Anwesung 162 § 25. Die Sinne: nur Durchgang, nicht selbst das Vernehmende im menschlichen Wahmehmen

§ 24. Die Seele als das einende und offenhaltende Verhältnis zu Vernehmbarem

§ 25. Farbe und Ton: beide zumal vernommen im διανοεῖν

Drittes Kapitel Schrittweise Entfaltung der vollen Bezüge des Vernehmens

A. Erster Schritt Vernehmen des Seienden als solchen

§ 26. Ein befremdlicher »Mehrbcstand« im Wahrgenommenen über das sinnlich Gegebene hinaus: das »Seiend« und anderes unvermerkt, doch unabweisbar Mit-vernommenes

B. Zweiter Schritt Suche nach dem, was den Mehrbestand im Wahrgenommenen vernimmt

§ 27. Die Sinnesorgane: kein Durchgang für das allem Wahrgenommenen Gemeinsame

§ 28. Die Seele als dasjenige, was die κοινά, das allem Gemeinsame, im διανοεῖν, im Durchgang durch sich selbst als den einen Bezirk des Vernehmbaren, in den Blick nimmt

C. Dritter Schritt Charakteristik des Seinsbezugs der Seele als Seinserstrebnis

§ 29. Der Vorrang des Seinserstrebnisses in der Seele als dem Verhältnis zum Vernommenen

§ 30. Haben und Streben

a) Scheinbare Unvereinbarkeit von Streben und Wahmehmen

b) Das Sichverlieren im unmittelbaren Wakrnehmen

c) Hinsichtloses und begriffloses Vernehmen

d) Freier Besitz von Wahrheit (Wissen) nur im Strebensverhältnis zum Bestrebten. Uneigentliches und eigentliches Haben

§ 31. Uneigentliches und eigentliches Streben. Der ἔρως als Seinserstrebnis

§ 32. Bestimmtere Fassung des Seinserstrebnisses

a) Wesentlichere Entfaltung der Seinsbestimmungen im Gestimmtsein

b) In-den-Blick-nehmcn der Bezüge des Seins

c) Auslegung der Seinsbezüge im συλλογισμός

d) Erstes Aufleuchten des Zeit-Bezugs von Sein

§ 33. Der »Mehrbestand«: keine Zugabe zum Empfundenen, sondern begriffliche Abhebung unterschiedlicher Seinscharaktere im Gesichtskreis des Seinserstrebnisses

D. Vierter Schritt Mensch-sein als geschichtliches in Einsatz und Haltung (παιδεία)

§ 34. Die Verwurzelung der »abstrakten« Seinscharaktere in der Einheit des leibhaften Daseins. Dessen Unterschiedenheit von der selbst-losen Natur. Über-sich-hinaus-sein in der ursprünglichen Sehnsucht

§ 35. Ungenügen der ersten Antwort des Theätet. Wahrnehmung immer schon mehr als Wahrnehmung. Erweiterte Erfahrung der αἴσθησις als der Bedingung der Möglichkeit von Unverborgenheit

Viertes Kapitel Anbahnung einer Erörterung der zweiten Antwort des Theätet: ἐπιστήμη ist ἀληθὴς δόξα. Mehrdeutigkeit von δόξα . . 246

§ 36. Das Entspringen der zweiten Antwort aus der in den bisherigen Erörterungen (Entbergsamkeit und Seinserstrebnis) übergangenen Frage nach der Unwahrheit

§ 37. Doppelsinn der δόξα (Ansicht): Anblick und Meinung

§ 38. Noch zwei Gesichter der δόξα: ihr Schwanken zwischen Erscheinen-lassen (εἶδος) und Verdrehen (ψεύδος)

Fünftes Kapitel Die Frage nach der Möglichkeit der ψευδὴς δόξα

A. Vorbereitende Untersuchung Unmöglichkeit des Phänomens der ψευδὴς δόξα

§ 39. Der Gesichtskreis der vorbereitenden Untersuchung, der die Möglichkeit einer ψευδὴς δόξα von vornherein ausschließt

a) Erste Hinsicht: Alternative von Kennen und Nicht-kennen

b) Zweite Hinsicht: Alternative von Sein und Nicht-sein

c) Dritte Hinsicht: die ψευδὴς δόξα als ἀλλοδοξία (Auswechslung statt Verwechslung)

§ 40. Ertrag der Voruntersuchung: λόγος-Charakter der δόξα; ihre Aporie: Verdrängung des Phänomens durch die leitenden Hinsichten

B. Hauptuntersuchung Rettung des Phänomens der ψευδὴς δόξα

§ 41. Zurücknahme der in der Voruntersuchung leitenden Hinsichten zugunsten bisher geleugneter Zwischenphänomene . . . 285

§ 42. Neue Charakteristik der Seele durch zwei Gleichnisse

a) Gleichnis vom Wachs. Das Eingedenk-sein

h) Ein Beispiel: der Feldbergturm. Gegenwärtigen und Vergegenwärtigen

c) Gleichnis vom Taubenschlag. Weisen des Behaltens

§ 43. Bestätigung des Zusammenhangs von αϊσ·δησις und διάνοια durch die Erweiterung des Feldes der Gegenwart

§ 44. Verdeutlichung des Doppelsinns von δόξα: ihre Gabelung in Gegenwärtigung und Vergegenwärtigung

§ 45. Ermöglichung des Sich-versehens durch die Gabelung der δόξα

§ 46. Verlagerung der Seins Verfehlung in die Unrichtigkeit der Aussage. Das Ungeschehene an der Geschichte des Wahrheitsbegriffs

ANHANG

Zusätze aus Heideggers Entwürfen (1-23)

Nachwort des Herausgebers

/home/mccastro/public_html/ereignis/data/pages/gesamtausgabe/ga34/ga34-estrutura-da-obra.txt · Last modified: by 127.0.0.1